|
Au vu des fortes chaleurs attendues encore pour les jours à venir, la municipalité a décidé d'enclencher son plan canicule. Un registre des personnes isolées âgées de plus de 65 ans et/ou handicapées permet aux agents municipaux de prendre contact avec ces personnes afin d'apporter conseils et assistance et d'être attentifs aux situations à risque. Pour vous inscrire, ou pour inscrire quelqu'un (avec son autorisation), contactez le CCAS au 05 49 29 28 06.
Nous invitons tous nos concitoyens à respecter les recommandations énoncées sur le document ci-dessous et à être solidaires des personnes isolées.

La commune cherche à être attractive pour d’une part que les habitants s’y sentent bien, et d’autre part, attirer des touristes. Cette politique se décline à travers plusieurs axes. Si vous souhaitez davantage de renseignements sur le tourisme en Pays Mellois, veuillez cliquer sur Tourisme. À Chef-Boutonne, nous avons la chance de bénéficier de tous les styles d’hébergement (hôtel, gites, chambres d’hôtes, village vacances, terrain de camping, aire de camping car). Voici les principaux liens de ces sites : la héronnière, le moulin de Tréneuillet. Le musée à Javarzay vous attend aussi pour une visite : site internet. Notre commune est homologuée pour la marque “petites cités de caractère” et regorge de trésors que vous pouvez visiter en vous promenant à pied. Le site suivant présentes la Petites Cités de Caractère, PCC.
PARCOURS DECOUVERTES DE LA VILLE
Chef-Boutonne : les lieux incontournables
Château de Javarzay
Du XVIe siècle, l’un des premiers châteaux Renaissance en Poitou.
Un espace muséographique, mis en place en 2022, avec 3 univers est ouvert à la visite :
* l’architecture de la Renaissance,
* les coiffes et bonnets du XIXe siècle
* Jean-François Cail, grand capitaine d’industrie du XIXe siècle, né à Chef-Boutonne.
La Grange aux souvenirs
Une réalisation de l’association des Amis du Château :
Il s'agit de la mise en scène, sous forme de saynètes, des métiers d’autrefois et de la vie quotidienne à Chef-Boutonne.A proximité également, à voir la Maison des Lavandières (lavoir du château).
La Coulée Douce
Cet espace est principalement dédié à la promenade et à la détente (halte cycliste, lieu de repos ou de pique-nique).
Elle est située, en partie, sur l'ancienne voie ferrée (ligne Niort-Ruffec ouverte en 1885 et Saint-Saviol-Saint-Jean d’Angély en 1896).
Eglise Saint-Chartier
Il s’agit d’un édifice roman du XIIème siècle avec un chœur Gothique du début du XVIe siècle (nécropole familiale des Rochechouard).
Elle fut classée Monument historique en 1840.
L’ancien portail du prieuré (à droite de l’église) sur lequel il peut être observé une Salamandre, emblème de François 1er.
Hôtel de ville
Demeure néo-classique de 1830, ayant appartenu à Jean-François Cail, qui désirait en faire un hospice pour personnes âgées. Son buste peut être observé sur le fronton de l’édifice. En 1900, la Municipalité de Chef-Boutonne en fait l'acquisition pour y établir l'hôtel de ville. Dans le parc, à admirer, un remarquable Cèdre bleu de l’Atlas.
Place Pré
La place créée en 1857, fur la propriété de Joseph-Henri Pré, Médecin,
Elle devint par la suite, l'ancien champ de foire aux moutons de Chef-Boutonne.
Aujourd’hui, l’espace de 1 800 m² est planté d’espèces florales, fruitières et doté d’un rucher municipal pédagogique et d’une petite vigne.
Place Cail et les Halles
Réhabilitée en 1992, la place Cail a été réalisée grâce à un don de 10 000 francs par Jean-François Cail, célèbre industriel du XIXème siècle. Aujourd'hui, elle est le cœur d’activités de la commune grâce à de nombreux commerces et services.
Un marché hebdomadaire y a lieu tous les samedis matin.
La Maison Cail
Petite maison de la famille Cail, parents de l’entrepreneur du XIXème siècle, Jean-François Cail, grand capitaine d'industrie de la première Révolution industrielle.
Son père, charron, était également sacristain en l'église Notre-Dame située à proximité.
Eglise Notre-Dame
Construite en 1830, l’église Notre-Dame fut bâtie par l'architecte Pierre-Théophile Segrétain (1798-1864), sur un modèle d’inspiration antique (comme l'église de la Madeleine à Paris). Dans la Sacristie, se trouve une pierre tombale gravée de Constantinus Petrus Miles (Chevalier du XIIIe siècle).
Place Malesherbes et remparts du château
Sur ce promontoire, dominant la ville, se trouvent les vestiges de l’ancien château fort de Chef-Boutonne, détruit entre la fin du XVIIIe siècle et 1813 (à observer : les vestiges de la Tour de la Grole et d'une partie de la muraille d’enceinte). Derrière l’église, un panorama sur la ville et sur ses toits expliqué par une frise émaillée pour une vision à 90°.
La Source de la Boutonne
La Source de La Boutonne, en provenance des contreforts du massif Central, se trouve au pied de l'ancien château de Chef-Boutonne. Son parcours est de 100 km jusqu'au fleuve Charente à Tonnay-Boutonne. A découvrir, un lavoir, remarquable, doté également d’un abreuvoir pour les troupeaux et d'anciens bains douches.
L'étang du Château
Créé en 1996, l'étang est un espace de pêche (de fin février à la mi-décembre), ouvert aux passionnés comme aux amateurs. Entouré par la Boutonne, le parc dans lequel il se trouve, est également doté d'un arboretum exceptionnel d'une cinquantaine d'espaces d'arbres et d'arbustes (115 panneaux permettent de les identifier).
La Vallée de la Boutonne
En Zone Natura 2000, nommée "Vallée de la Boutonne", elle ne fait pas moins de 7 333 hectares. Sont concernés la rivière Boutonne et ses affluents principaux, la Belle, la Béronne, la Berlande, la Bellesébonne, la Boudoire et les 41 moulins à roues (farine, huile ou papier) présents sur le site, dont 14 sur la commune.

Le centre communal d'action sociale (CCAS) est un établissement public chargé de mettre en œuvre la politique sociale de la municipalité à l'échelle de son territoire. Autonome dans sa gestion, il dispose d'un conseil d'administration (dont le maire est président) et de moyens propres pour mener à bien ses missions.
À Chef-Boutonne, le CCAS, qui est à la disposition du public :
- propose un appui administratif pour la constitution de dossiers tels que : demande de CMU-Complémentaire, demande de carte de stationnement pour personne handicapée, CAF, retraite, aides départementales ou nationales…
- a mis en place des aides à destination des enfants (piscine, sport, cinéma …) et des adultes (permis de conduire, prêts …)
- assure des missions obligatoires telles que : demande d’aide à domicile pour personne âgée (Conseil Départemental), élection de domicile SDF … et entretient des relations avec ses partenaires tels que la CAF, Pôle Emploi, etc.
Vous êtes reçu dans les bureaux du CCAS à la Mairie de Chef-Boutonne, au 1er étage à droite, par Madame Isabelle Dubé aux horaires suivants :
|
|
Lundi
|
Mardi |
Mercredi |
Jeudi |
Vendredi |
| Matin |
Fermé au public
|
9h30 à 12h30 |
8h30 à 12h30 |
8h30 à 12h30 |
Fermé au public |
| Après-midi |
13h30 à 17h00 |
13h30 à 17h00 |
Fermé au public
|
13h30 à 17h00 |
Fermé au public |
Pour les personnes qui ne peuvent pas se déplacer en Mairie, possibilité de visite à domicile, sur rendez-vous (appelez la Mairie au 05 49 29 80 04).
Les aides du CCAS : lien vers document couleur à la une

Les élus lors de la séance du 27 avril août 2018, ont validé leur intention de fusionner leurs communes au 1er janvier 2019. Ils ont validé en même temps une charte attestant de leurs volontés communes.
La présente charte a pour objet de rappeler l'esprit qui anime les élus fondateurs ainsi que les principes fondamentaux qui doivent s'imposer aux élus qui seront en charge de la gouvernance de la Commune Nouvelle.
Consulter la charte

Tillou, tire son nom de « Theil » soit Tilleul en langue poitevine. Le tilleul est très présent dans le village et l'un des plus beaux spécimens, classé arbre remarquable, est situé sur la place de l'église.
Aujourd’hui, la commune historique compte 335 habitants. L'église Saint-Sulpice se singularise par son clocher-mur, sa nef romane dont seule subsiste la porte sud et son retable remarquable en voie de classement.
 
Historique de Tillou La première mention que l’on trouve de Tillou fut faite le 6 janvier 817 : il s’agit du don fait par un prêtre du nom de Bernier (ou Besnier) à un sieur Rainaud d’un immeuble sis ‘In vicario Metulense (Melle) in villa Tillioli ». Une vicaria était une division administrative, et une villa un vaste domaine et parfois toute une paroisse comme dans le cas présent. La Villa Tilliolum tire peut-être son nom de ce qu’elle était construite en un lieu planté de tilleuls, arbre qui poussait jadis à l’état sauvage en cette région.
Du XVII siècle au XIX siècle, le bourg possédait une halle. Un marché s’y tenait chaque mardi. Lors des trois foires annuelles s’y vendaient quelques bœufs, des brebis et des pourceaux.
Entre les deux guerres, la commune était très active dans l'exploitation agricole. Les fermes moyennes atteignaient 20 à 25 hectares. De plus, elle possédait trois moulins à eau, couplés chacun avec un moulin à vent, quatre puits communaux, deux écoles (une de garçons et une de filles). La halle à côté de l’église fut démolie en 1920, pour laisser place au monument aux morts. La grande guerre a en effet marqué durement la commune : 22 habitants sont déclarés morts pour la France. Pendant la débâcle de la seconde guerre mondiale, de nombreux ardennais ayant tout perdu, furent accueillis.
LE LOGIS ET LES SEIGNEURS
Le logis de Tillou relevait de la baronnie de Gascougnolles. Une partie de la commune était du ressort de la baronnie de Melle. La paroisse dépendait de la prévôté, de l’archiprêtré de Melle et de l’élection de Saint-Maixent.
À la suite de différentes alliances matrimoniales, la seigneurie de Tillou déjà évoquée dans différents textes dès 1437, passa définitivement à la famille de Nossay en la personne de François de Nossay. En 1698 la seigneurie appartenait à Jacques de Nossay, chevalier, seigneur de la Forge, demeurant en son château de Tillou. La branche Tillolaise des De Nossay s’éteignit en novembre 1818 avec le décès de Louis Alexandre de Nossay dernier homme de la famille, réputé bossu et très laid. Il était néanmoins père d’une fille illégitime nommée Marie Forgette car née au domaine de la Forge (Montigné) et dont la mère n’était autre que sa servante Marie Bouquet. Elle fut reconnue par son père, et épousa un vitrier de Chef-Boutonne signant ainsi la fin de l’histoire des De Nossay à Tillou. Signalons enfin que les seigneurs de Tillou étaient protestants au tout début de leur installation à Tillou.
Elle lui rapportait 3 000 livres de rente. Le seigneur de Tillou n’avait pas le droit de nommer des notaires : c’est le seigneur de Gascougnolles, son suzerain qui les établissait sous sa juridiction. Deux procureurs fiscaux : Guillaume Bonnet et Jean-Louis Augustin Minot ont été les époux successifs de Dame Ambroise Dorothée Hérissé, la mère des « Demoiselles de Beaumoreau ».

La Bataille, doit son nom à une opposition armée sur ses terres entre Poitevins et Angevins, entre les neveux du comte d'Anjou Geoffroy Martel et le duc d'Aquitaine, Guy-Geoffroy, connu sous le nom de Guillaume VIII, en 1061. Cette bataille, a été une guerre de territoire, à une époque où l’Aquitaine représentait un vaste duché s’étendant du sud de la Loire aux Pyrénées.
En 1744, La Bataille comptait trois petites métairies et 150 habitants. C’était une plaine sèche, sans prairie, et les cultivateurs devaient aller acheter leur foin dans les paroisses voisines. Soixante ans plus tard, on y trouvait une tuilerie et un moulin à eau qu’un petit ruisseau faisait tourner six mois par an. Quelques terrains étaient plantés en vignes, mais le vin que l’on en obtenait était de médiocre qualité. La Bataille (628 hectares) comptait 162 habitants en 1821. Ils étaient 200 en 1846, 180 en 1881, 166 en 1911, 139 en 1921, 156 en 1931, 106 en 1975, 88 en 1992.
Le village compte aujourd’hui 72 habitants, il se situe à 2,38 km de Chef-Boutonne. Aujourd’hui, il ne reste plus de trace de ce combat. Néanmoins, les terres de La Bataille restent marquées par leurs surprises, car des agriculteurs sont déjà tombés sur des morceaux d’armes en travaillant leurs terres. De plus, les lieux-dits entretiennent l’histoire grâce à leurs appellations. À l’entrée du village en arrivant de Lussais, le champ « Bataille », « le Joug », « les Bourgs sanglants », « les Signaux » ou « la Chaume », un carrefour où, partout où l’on a creusé, on aurait retrouvé des ossements de défunts.
 
Vous pouvez trouver ci-joint une photographie qui conte l'histoire de Guy Geoffroy.
LA VARENNE A TRAVERS LES SIECLES Les vestiges d’un camp romain de soixante-dix mètres de côté ont été découverts au lieu-dit « Le Chatelier », appellation caractéristique, à proximité du hameau de la Varenne. Tout près de là se dressait, à l’époque féodale, une petite place-forte. Autour de la ferme qui l’a remplacée subsistent encore une partie de ses douves.
Le château appartenait au XVe siècle, à Guillaume Montferrand, dit Perceval, seigneur de Lusseray et de la Varenne. Il prit le parti du roi, au temps de la Praguerie, et lorsque Melle fut occupée par les troupes du duc d’Alençon, chef des factieux, Montferrand et ses amis contribuèrent à la prise de la ville. Charles VII lui en sut gré. Six ans plus tard, lorsque Montferrand, redouté loin à la ronde, fut accusé de brigandage, le roi Charles VII lui accorda des « lettres de rémission » équivalant à son acquittement.
François de Mallevaud seigneur de la Varenne, servit au ban du Poitou en 1639. Gabriel Benjamin de Mallevaud, nommé maire de La Bataille en 1792, décéda la même année. Claude de Mallevaud, capitaine dans les troupes royales, se maria à Fort-de-France, en 1681 et en 1692. Certains de ses descendants, parmi lesquels plusieurs marins et soldats, résidèrent à la Martinique jusqu’à la Révolution.
Né à la Varenne en 1711, Charles-Gabriel Mallevaud combattit en Vendée avec l’armée catholique et royale. On le crut émigré, et ses biens, confisqués au profit de la nation, furent vendus le 23 octobre 1796.
L’EGLISE L’église paroissiale Saint-Gilles, d’un revenu de 500 livres en 1769, était à l’origine, un modeste édifice roman. Il a été reconstruit au XIXe siècle. Le clocher, qui avait été refait, s’effondra et tomba sur la toiture. On le releva en 1882.

Crézières, est située à 5 km de Chef-Boutonne, c’est la plus petite cité du sud des Deux-Sèvres avec sa superficie de 4,25 km². Cette ruralité compte aujourd’hui un peu plus de 40 habitants, ce qui fait d’elle aussi le village le moins peuplée.
L’ancienne commune se compose de deux « villages ». Le bourg construit principalement sur le versant sud-est de la vallée de la Doue où était édifiée l’église Saint-Grégoire, puis le hameau de Ouismes érigé sur la colline d’en face, d’où viendrait son nom (Ouismes : la hauteur) et de deux maisons dans le hameau de Semoussais.
Il est fait mention pour la première fois de la paroisse de Sanctus Gregorius de Crazeriis (littéralement Saint-Grégoire-du Creux) dans un registre des titres de propriété (cartulaire) de Saint-Jean-d’Angély en 1119. L’église fut donnée à l’abbaye de Saint-Jean-d’Angély par l’évêque de Poitiers, Guillaume 1er en 1120. Comme beaucoup d’édifices religieux, elle fut vendue et détruite à la révolution. Seuls quelques vestiges sont encore visibles de la route de Semoussais, dans une propriété privée. Le cimetière qui confère aujourd’hui son originalité au village date de 1779. Les défunts, à l’exception des protestants, étaient préalablement inhumés face à l’église Saint-Grégoire. L’église actuelle date de 1860.
 
Ce village, se voit rattachée au canton de Chef-Boutonne en 1955, à la demande des habitants de la commune, autrefois rattachée avec le canton de Brioux-sur-Boutonne.
L’activité a toujours été essentiellement agricole, il n’y a jamais eu de commerces à Crézières. Terre de poly-élevage et de polyculture, le village faisait autrefois partie de « l’appellation » Cognac et la vigne s’étendait sur une soixantaine d’hectares, soit environ 15 % de la surface agricole.
Le village a obtenu le label « villes et villages fleuris », grâce aux actions de la municipalité et des habitants qui ont eu envie de rendre leur cadre de vie plus agréable.
Un accident est survenu ce matin du 20 mars 2025 place Cail, impliquant une voiture qui a percuté l'un des piliers des halles. Heureusement aucun blessé n'est à déplorer, et l'intervention des pompiers, de la gendarmerie et des services techniques municipaux a permis la sécurisation du site. En effet, l'impact a entraîné un effondrement partiel des halles.
L'accès à la zone est bien entendu formellement interdit. La municipalité prendra toutes les mesures nécessaires pour préserver ce bâtiment emblématique de notre commune.
Le marché aura bien lieu samedi matin, la réorganisation des étals est en cours pour trouver un emplacement sécurisé à chacun.
Commune Nouvelle
Une commune nouvelle c'est la fusion de plusieurs communes entre elles.
Cette commune nouvelle est constituée en lieu et place des communes historiques de La Bataille, Chef-Boutonne, Crézières et Tillou. Elle a pris son origine le 1er janvier 2019.
La commune nouvelle a pour nom "Chef-Boutonne". Son chef-lieu est fixé au chef-lieu de l'ancienne commune de Chef-Boutonne.
En savoir plus.
Merci de votre message. Nous reprendrons contact avec vous très prochainement.
Horaires d'ouverture du Secrétariat de la Mairie de CHEF-BOUTONNE
Mairie de Chef-Boutonne 7 avenue de l'Hôtel de Ville 79110 Chef-Boutonne
05 49 29 80 04
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Lundi, Mercredi, Vendredi : 9 h à 12 h 30 et 14 h à 17 h
Mardi, Jeudi : 14 h à 17 h 00
Horaires d'ouverture du Secrétariat de la Mairie de TILLOU
Mairie de Tillou 1 Place de l'Eglise - Tillou 79110 Chef-Boutonne
05 49 29 33 23
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Lundi, Mardi, Jeudi, Vendredi : 13 h 30 à 17 h
Horaires d'ouverture du Secrétariat de la Mairie de CREZIERES
Mairie de Crézières 3 rue de la Mairie - Crézières 79110 Chef-Boutonne
05 49 29 61 88
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Jeudi : 9 h à 12 h 30
Horaires d'ouverture du Secrétariat de la Mairie de LA BATAILLE
Mairie de La Bataille 10 rue de l'Arbalète - La Bataille 79110 Chef-Boutonne
05 49 29 62 27
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Mardi : 9 h à 12 h 30
Une commune nouvelle c'est la fusion de plusieurs communes entre elles. Cette commune nouvelle est constituée en lieu et place des communes historiques de La Bataille, Chef-Boutonne, Crézières et Tillou. Elle a pris son origine le 1er janvier 2019. La commune nouvelle a pour nom "Chef-Boutonne". Son chef-lieu est fixé au chef-lieu de l'ancienne commune de Chef-Boutonne.
En savoir plus.
|
|

Le mot du maire 
A chaque cérémonie du 8 mai et du 11 novembre, je prononce un discours. Cette année, j’ai souhaité aborder cette cérémonie sous l’angle du souvenir. Je retranscris donc pour tous, mes propos, lus aux 4 cérémonies (Chef-Boutonne, Tillou, La Bataille, Crézières).
Lire la suite...
|
|

|
Chef-Boutonne situé à 80 km de Poitiers (Futuroscope), 100 km de la Rochelle, 40 km de Niort (la Venise Verte) et à 60 km d 'Angoulême. Cette petite bourgade de campagne doit son nom à la rivière la Boutonne, qui prend sa source au cœur de la ville, sous le Lavoir de la rue de la Fontaine, d'où le nom de "chef" pour la tête de la Boutonne.
|
|
Quelles sont les prochaines manifestations prévues à Chef-Boutonne ?
|
|
|
Retrouvez aussi la commune de Chef-Boutonne sur  |
|


AIDE A LA PERSONNE (Association ADMR)
Aide à Domicile en Milieu Rural (services d’auxiliaires de vie et d’aide ménagères) Espace Voltonia, Place du Petit Maure 79110 CHEF-BOUTONNE
05.49.29 56 89 |
|
APPUI ET VOUS Sud Deux-Sèvres
Informations et orientations gérontologiques
0809.109.109.
|
|
PORTAGE DES REPAS
PMI (PROTECTION MATERNELLE INFANTILE) Madame TOUZOT (puéricultrice) Lieu : rue des Trois Versennes Horaires : sur rendez-vous au SAST de Melle : 05 49 27 02 28

La commune de Chef-Boutonne a délégué son service d'eau à Véolia, pour toutes informations supplémentaires veuillez contacter 05.61.80.09.02.
L'eau est gérée par SMAEP 4B pour La Bataille, Crézières et Tillou, disponible au 05.49.07.74.31.
Rapport du Maire sur le Prix et la Qualité de l'eau
: Année 2019 - RPQS
: Année 2018 - RPQS
: Année 2017 - RPQS
: Année 2015 - RPQS

Assainissement
La Commune est desservie par un service d'assainissement collectif et autonome à l'exception de quelques villages. C'est la Communauté de Communes Mellois en Poitou qui est en charge de ce service.
Adresse : 2, rue du Simplot 79500 Melle Téléphone : 05 49 29 13 16
Plus d'information sur : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

SITE DU CHATEAU DE JAVARZAY
CHATEAU DE JAVARZAY classé Monument Historique dès 1862

HISTOIRE
Le site de Javarzay est occupé depuis l’antiquité par une ferme Gallo-Romaine, domaine de GAVARCIUS, à l’origine du nom de JAVARZAY. Elle devient une ferme Royale Mérovingienne au VIème siècle. Clothaire 1er, fils de Clovis et époux de Radegonde, y séjourna en 559 et Saint Junien, ermite légendaire, y fut reçu.

Dans les différentes salles vous découvrirez:
Le château que nous voyons aujourd’hui est un des premiers châteaux de la Renaissance en Poitou. Édifié par François de Rochechouart (compagnon d’armes de François 1er) autour de 1515, il comportait alors 12 tours d’enceinte. Parmi ses illustres propriétaires, nous trouvons : la famille de la Rochefoucault, le comte de Ponchartrain ministre de Louis XIV, Chrétien Guillaume de Lamoisgnon de Malesherbes avocat de Louis XVI. Passé entre les mains de différentes familles depuis la Révolution, il fut plus ou moins abandonné à ses ruines. Le Château va revivre à partir de 1982 suite à son achat par la commune de Chef-Boutonne. Grâce à l’action de l’association « Les Amis du Château de Javarzay » depuis 1983 et à une vaste opération de restauration par les Monuments Historiques en 1995, le château retrouve fière allure.
En collaboration étroite avec les Associations partenaires, Les Amis du Château de Javarzay et l’Association CAIL, la Municipalité a précédé en 2021 à des travaux de réaménagement intérieur : un nouvel espace muséographique a été inauguré en 2022, mettant en exergue le génie humain. 3 univers permettent au visiteur de s’immerger au cœur de cette ingéniosité, ces savoirs-faires : l’architecture resplendissante de la Renaissance, la dextérité des petites mains, créatrices de coiffes et bonnets au XIXème siècle et surtout la rencontre avec Jean-François Cail, enfant du pays et grand capitaine d’industrie du XIXème siècle, dont l’intelligence créatrice laisse sans voix.
ARCHITECTURE
Édifié par un architecte Tourangeau au tout début du XVIème siècle, bâti de pierres blanches, couvert d’ardoises, il présente la silhouette d’un petit château de la Loire. Le châtelet d’entrée allie à la fois l’aspect Féodal et l’aspect Renaissance. Sa tour carrée flanquée de tourelles à encorbellement domine le site. Sur ses deux façades les coursives sont interrompues par une travée de fenêtres à meneaux aux décors Renaissance très soignés. Son porche conserve les traces du pont-levis et du passage des charrettes. Il conduit à la cour intérieure, symbolisée aujourd’hui par une haie d’ifs. La tourelle d’escalier en vis de type féodal dessert l’ensemble des pièces du Château. La Chapelle présente une très belle porte sculptée. La grosse tour d’angle qui demeure est surmontée d’une toiture conique très élancée. et entourée d’un chemin de ronde à larges créneaux. Elle impressionne par ses mâchicoulis posés sur de longues consoles. La visite permet de découvrir sa charpente d’origine. Accolée au corps de logis, entre les deux tours, l’orangerie du XIXème accueille le visiteur. L’aile droite rapportée en 1820 offre un espace d’expositions aux artistes.
LA VISITE
- Visite libre et immersive
Au cours d'une promenade commentée, vous pourrez découvrir:
- La Renaissance expliquée : Sublime témoin de la Renaissance en Poitou, construit en 1515 par François de Rochechouard, le château a parcouru le temps jusqu’au XXI -ème siècle : son épopée vous est contée par « une mystérieuse voix du château » et des multiples outils de médiation vous permettent d’en comprendre l’histoire et sa construction. Une maquette 3D vous en apporte les clés.
- La vie rurale au 19 -ème siècle représentée grâce à une superbe collection de coiffes et bonnets féminins. Mais plus que des objets, ce sont des histoires qui vous seront contées, celles de filles et de femmes à travers les différents instants de leur vie. Au fond d’une malle, au cœur d’un album photos, sous un globe vitré c’est tout un « pan » de leur histoire de vie qui vous est expliqué. Vous découvrirez ces « doigts de fée » qui créent ces parures d’exception. Et pourquoi pas, l’espace d’un instant, prendre la pose avec l’une de ses parures ? Notre coiffomaton vous y invite.
- Rencontre avec un génie : Jean-François CAIL, enfant du pays a été un grand capitaine d’industrie au XIX -ème siècle, un contemporain de Gustave Eiffel. C’est son incroyable destin qu’il vous raconte, de son enfance modeste à la reconnaissance de la Nation. Un parcours de vie extraordinaire qui ne vous laissera pas de marbre !
- A découvrir aussi à proximité du château :
- Les abords extérieurs du Château, son architecture, sa chapelle, son arborétum
- L'église Saint Chartier (XIIème et XVIème)
- Le Porche de l'ancien prieuré
- La Boutonne
- La "Grange aux souvenirs"
- La maison des Lavandières et son lavoir
Les HORAIRES
De mars à juin et d'octobre à novembre :
Le Samedi et jours fériés de 14h à 17h30
Le dimanche de 10h à 12h30 et de 14h à 17h30
Ouverture tous les après-midi pendant les vacances de Pâques et de la Toussaint. Du 1er juin au 30 septembre :
Tous les jours (sauf le mardi) de 10h à 13h et de 13h45 à 18h
LES TARIFS
Adulte : 8€
Enfant de + de 10 ans, étudiant, demandeur d’emploi, PMR… : 6€
Famille (2 adultes/ 2 enfants et +) : 20€
Groupes (+ de 10 pers.) : 6€
Scolaires (enseignants compris) : 2€
Ambassadeur (carte annuelle illimitée) : 20€
EGLISE SAINT CHARTIER A JAVARZAY
Classée monument historique en 1840, cette église romane dédiée à Saint Chartier fut construite au milieu du XIIème siècle et abrite une centaine de sculptures ainsi qu’une dalle funéraire gravée en 1211.
Située sur un chemin secondaire de Saint Jacques de Compostelle, elle fut agrandie au XVI ème siècle afin d’accueillir les pèlerins, ainsi le chœur et le portail apportent une touche renaissance à cet édifice.
EGLISE NOTRE DAME

Construite entre 1824 et 1830, l’Eglise Notre-Dame se trouve sur l’emplacement de l’ancien château de Chef- Boutonne. L’architecte, Pierre-Théophile Segretain, a basé ses plans sur le style néo-classique, très en vogue à cette époque. C’est la raison pour laquelle elle ressemble à l’Eglise de la Madeleine à Paris.
CHÂTEAU DE CHEF-BOUTONNE
Le château occupait un éperon rocheux qui domine la source de la Boutonne mais il ne reste que les vestiges de deux tours et une partie de la muraille d’enceinte. La place Malesherbes porte le nom du dernier Marquis de Chef-Boutonne, avocat de Louis XVI au moment de la Révolution Française. La promenade sur les remparts derrière l’Église, offre aux visiteurs un panorama sur la ville.
L’HOTEL DE VILLE ET SON PARC

L’Hôtel de Ville est installé dans un bâtiment qui fut acheté au XIX ème siècle par Jean-François Cail dans le but d’y faire une maison pour personnes âgées. On peut voir le buste de Jean-Fançois Cail sur la façade principale. Il est situé dans un parc arboré où l’on peut remarquer un cèdre vieux de cinq siècles.
SUR LES TRACES DE JEAN-FRANCOIS CAIL
Jean-François CAIL est né à Chef-Boutonne en 1804. Autodidacte, il devint très vite inventeur puis ingénieur mécanicien. Puis, il installa ses ateliers à Chaillot, où il fit construire des locomotives dont les célèbres locomotives de vitesse Crampton, des constructions métalliques (viaduc des Fades). Il participa à la modernisation des techniques liées à l’industrie agricole sucrière. Il révolutionna aussi le monde agricole avec sa ferme industrielle de « La Briche » en Indre et Loire, unique en Europe. Il décéda en 1871, après avoir déposé 51 brevets et fut l’un des acteurs essentiels de la révolution industrielle.
Au château de Javarzay, il est possible de visiter une salle d’exposition sur Jean-François Cail aménagée par l’ Association C.A.I.L (Comité Autour d’un Inventeur Local). La place commerçante en centre ville et le lycée professionnel portent le nom de Jean-François Cail . Il est possible de voir sa maison natale en se promenant dans la « venelle » à l’angle de la rue René Coynault.
LA BOUTONNE
LA RIVIERE

La Boutonne prend sa source à Chef-Boutonne, sous le lavoir rue de la Fontaine, puis traverse une partie du département des Deux-Sèvres, et de la Charente Maritime, sur 99 km. Elle se jette dans la Charente à Carillon près de Tonnay-Charente. Ses affluents sont la Brédoire, la Nie, la Sandrenne, la Trezence. Elle fut aménagée au XVIIIème siècle de manière à faciliter la navigation de commerce et le transport du Pineau, et est navigable à partir de St Jean d'Angély, sur 31 kilomètres. A Chef-Boutonne, plusieurs petites sources et résurgences prennent naissance de part et d’autre de la rivière jusque dans son lit, on peut ainsi citer : Coupeaume, Pytareau, la Fontaine de la Faiencererie, le Rossignol , Pouvareau, Chandant, le Pouzac, Pyroli, la Fontaine du Château, la Fontaine à Marion et la Fontaine du Pont-Neuf.
LES MOULINS
Il y a 41 moulins sur la Boutonne en Deux-Sèvres, dont 14 moulins qui ne sont plus en activité à Chef-Boutonne. Les moulins de Chef-Boutonne en allant de la source vers l’aval sont le moulin des Bessons, le moulin d’Epaillard, le moulin de Pouillet, le moulin de Pouvareau, le moulin de Chandant, le moulin de Javarzay, le moulin de Payré, le moulin des Gonds, le moulin Neuf, le moulin du Guibou, le moulin de Treneuillet, le moulin de Planier, le moulin de Lussais et le moulin de Lusseau.
LES LAVOIRS

Autrefois, les lessives se faisaient dans la Boutonne et les femmes se retrouvaient autour des lavoirs dans les différents quartiers du village afin de laver leur linge. Ainsi, les bords autour des lavoirs étaient empierrés, afin de permettre aux laveuses de s'agenouiller, sur leur genouillon , sorte de baquet en bois garni d'un oreiller. Elles lavaient et battaient leur linge avec un "battou" ou" tapou" pour extraire la lessive restante et décrassaient le linge à la brosse à chiendent sur les tables en pierre construites à cet effet. Chef-Boutonne compte plusieurs lavoirs dont celui de la source, de Javarzay près de la maison des Lavandières, du Moulin Neuf, de Pouvareau entre autres.
|